Moscou fut à elle seule une sacré expérience comme vous pouvez imaginer. C'est une ville assez difficile d'accès mais pas du tout comme je l'avais imaginée. La barrière de la langue et la topologie de ses autoroutes urbaines font qu'il est extrêmement difficile d'y trouver son chemin. Par contre la ville semble assez sure et nous ne nous sommes jamais senti mal à l'aise même durant la nuit.
Les deux choses qui m'ont le plus marqué du point de vue sites touristiques sont jusqu'à présent sont les Sept Sœurs de Staline et le métro.Ces sept gratte-ciel ont été construits dans les années 50 pour glorifier le communisme et rivaliser avec le symbole capitaliste par exelence que constitue New York. Notre plan était de logé dans une de ses tours mais cela n'a malheureusement été possible.
Le métro est tout aussi somptueux avec ses grands lustres et ses salles de marbres qui font plus penser au concert noble qu'à la station Lemmonier. En plus d'être un lieu de visite, le réseau moscovite est le plus efficace que j'ai jamais vu. 12 lignes, 176 stations, un métro toutes les minutes (!) en journée et toutes les 3 minutes en soirée. Tout ça pour moins de 40 cents par trajet.
Au programme cet après midi, énième tentative de visite de la place rouge et du Kremlin. La place est impossible d'accès parce que des concerts y sont organisés tous les soirs (notamment la grande chanteuse française Miréyeumatiou).
J'aurais pu encore vous parler des cette fascination des russes pour les célébrtés européennes ringardes, de leur amour pour les chaines de restauration rapides, de l'église du christ sauveur, de la statue de Pierre le grand ou plus sérieusement des disparités économiques criantes au sein de la population mais le temps presse et les bagages attendent.
Ce soir embarquement dans le trans-mongolien jusqu'à samedi donc pas de nouvelles pendant quelques jours.
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