donderdag 17 september 2009

Comment survivre au grand train rouge

Suite à quelques problèmes de connexions, voici avec un peu de retard le dernier post promis sur le transmongolien. Étant donné que les renseignements à ce sujet sont plutôt rares sur le net, quelques infos pratiques d'Oncle Martin.



Nous avons acheté notre ticket sur Internet via waytorussia. La compagnie qui nous a acheté les tickets s'appelle Transiberiana ou Grint Travel ltd (c'est selon). Tout a fonctionné comme sur des roulettes malgré les gros doutes que l'on a eu à plusieurs reprises. La commission prise par les intermédiaires s'élève à plus de 30% au final mais après vérifications ça m'a l'air standard (ne parlons pas des agences de voyages qui demandent encore plus). La seule façon de payer moins cher est de connaître quelqu'un sur place qui peut vous acheter les tickets (il vaut mieux si prendre 40 jours à l'avance pour être sur d'avoir les places que vous voulez).


Une fois bien installé dans le train, votre principale préoccupation sera sans doute : « que manger? ». Le wagon restaurant est à proscrire selon moi, rempli de touristes noyant leur ennui dans la bière et bien trop cher pour la qualité plat unique qu'ils offrent (10€).


Les plus prévoyant auront pensé à emmener leurs provisions (attention même en 1ère il n'y a pas de frigo). Dans chaque wagon, un samovar d'eau presque bouillante est à disposition. Bien utile pour se préparer du thé mais aussi des nouilles type Aïki ou autres.


Mais le grand plaisir reste surtout de profiter des nombreux arrêts pour aller à la chasse aux produits locaux. Vous trouverez de tout, selon votre chance. Boulettes, saucisses, pains divers, raviolis farcis aux patates ou aux oignons (si si c'est très bon) et même des repas complets de temps à autres.

Voici qui conclu notre série sur ce train mythique, à tout de suite pour le récit de nos formidables aventures mongoles.

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